Lorcan I McGrath-Smith ♣ C'mon Yankees, don't be jealous ! [uc]

▷ WHO SAID THAT HEROES MUST BE STRONG GUYS ?!

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CREDITS : Come-along-pond 's tumblr

▾ CHAPTER ONE

NOM, PRÉNOM :Dès l’entente de son nom, on voit bien que le jeune homme n’est pas un américain mais un ressortissant britannique : Lorcan Iwan McGrath-Smith. Lorcan est un prénom irlandais, Iwan un prénom celte, McGrath un nom écossais et Smith un nom anglais. A lui seul il représente la Grande Bretagne… Si ça c’est pas avoir de la chance ! Surtout par rapport à ses voisins Yankees.

A part ça, on l'appelle Scottish, buveur de thé, Lolo (il déteste tout particulièrement celui-là), la pédale (mais ce mec est un con qui ne différencie par le football de ce qu'ils appellent le soccer), McGrath (oh oui gentil patron...), l'alcoolique aussi, parfois... Et, entre nous, ceux qui l'appellent ainsi ne sont pas très loin de la vérité...

DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Ce jeune (et charmant) garçon est né le 23 juin 1985 à Bathgate en Écosse. Oui, en Grande-Bretagne, Europe, Terre, et tout le tatouin !

COMMENT S'EST DÉROULÉ VOTRE ENFANCE ? On peut dire que Lorcan à eu une enfance normale, deux parents, une sœur, un chien. Il a toujours été très doué dans tout ce qu’il entreprenait : sports, connaissances. Il a toujours eu de nombreux amis. Le paradis non ? Bon il a eu quelques bagarres et quelques disputes avec sa famille mais qui n’en a pas eu ? Oh et puis parfois, dans le classement des choses de son enfance, il place le chien avant la sœur... Et il a aussi eu des moments d'intense solitude mais nous verrons ça plus tard...

MÉTIER : Le jeune homme est journaliste, il travaille dans la section musique d’un célèbre magazine et il travaille également dans une bibliothèque.

POUVOIR : Il a le pouvoir que l’on appelle : « Mimétisme empathique. » Bon, lui il appelle ça être une éponge, mais on n’a pas tous lu le dictionnaire…

Pour le moment, il a les pouvoirs de :

GROUPE : Heroes

▾ CHAPTER FOUR

PSEUDO : Maxxie.

SEXE : I'm a girl, et oui Lorcan I McGrath-Smith ♣ C'mon Yankees, don't be jealous ! [uc] 3827031138

OU AVEZ-VOUS TROUVE LE FORUM ?/COMMENTAIRES : J'ai trouvé le forum sur bazzart ! En fait, je suis en période d'examens, je n'aurais jamais dû aller là-bas car me voilà !
Braiphe, je n’ai pas joué de garçon depuis des années alors j’espère y arriver ^^

AVATAR : Matt Smith Lorcan I McGrath-Smith ♣ C'mon Yankees, don't be jealous ! [uc] 2603259518

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▾ CHAPTER TWO

RACONTEZ LA FOIS OU VOUS AVEZ DÉCOUVERT QUE VOUS ÉTIEZ UN HEROES.

Il était une fois un petit garçon qui… Oui en fait, il avait quatorze ans, mais n’empêche que ça aurait pu le faire ! Il était là, avec ses lunettes et un livre dans les mains. Le soleil était haut, la scène se passe en plein été. Tout allait bien. Enfin, jusqu’à ce qu’il se reçoive une balle de foot en plein sur le nez. Je conçois que vous ne compreniez pas vraiment le lien qu’il y a entre le fait qu’il soit un heroes et qu’on lui ait cassé le nez. Étant un homme, britannique qui plus est (une histoire de fierté) il ne put s’empêcher d’aller se battre avec le jeune garçon qui l’avait agressé. Sauf que celui-ci se déplaçait à une vitesse incommensurable. Lorcan avait beau s’interroger, il finit par laisser tomber, jusqu’à ce qu’il retrouve le même mec le lendemain. D’un pas assuré, il s’approcha de lui et tenta de simplement lui parler. À ce moment là, c’était purement la stricte vérité. Mais au moment où il posa la main sur l’épaule du jeune homme il se sentit étrangement à l’aise et tout ce qui l’entourait lui semblait bizarrement trop lent. Y compris la baigne que tenta de lui asséner son camarade, qui fut fortement dépourvu lorsque l’écossais répliqua, à vitesse et force égale.

Mais ce ne fut pas tout. Un soir, dans un pub, il embrassa une jeune femme qu’il avait entendu parler anglais bien sûr, mais également français, russe et même chinois. Oui, bon, elle était polyglotte et alors ? Ça la rendait même assez sexy pour tout vous dire, mais il ne s’attendait pas à ce que, dès qu’il eut fini de lire son cours le lendemain il put le prononcer au mot près. Sans même prendre la peine de le relire. Tout lui paraissait si clair… Mais… Comment pouvait-il être ultra rapide ET avoir une mémoire fulgurante ? Je dois avouer que cela ne me déplairez pas mais vous savez, un être humain n’est jamais vraiment content de ce qu’il a… Alors il lui est souvent arrivé de ronchonner et de « regretter le temps passé » Quelle idée !

Il sut qu’il était définitivement différent lorsqu’il disparut. Un jour. Comme ça. La veille, après s’être saouler (une soirée habituelle à vrai dire), il rentra dans ce qu’il crut être un poteau et tomba. Sauf que lorsqu’il leva les yeux, il n’y avait pas de pylône. Il lâcha simplement un « putain, faudrait vraiment que j’arrête de boire » et rentra se coucher. Il se réveilla le lendemain avec la gueule de bois, comme souvent, se passa la main dans les cheveux, remonta un peu son caleçon en sortant du lit et se dirigea au radar jusqu’à la salle de bain. Et ce fut au moment où il eut finit de se laver les mains qu’il redressa la tête pour croiser son reflet dans le miroir. Sauf qu’il n’en n’avait pas. Il ne put s’empêcher de pousser un cri. Ce qui, entre nous, n’est pas très viril… En même temps, ce n’est pas non plus l’homme le plus viril que l’on puisse trouver, et alors vilains et médisants Yankees ?! C’est un heroes quand même hey ! Qu’est-ce que vous dites de cela ! Ça dura trois heures puis il reprit son apparence. Le choc quand même ! C’est là qu’il constata qu’il était une sorte d’aspirateur à pouvoir, une sorte d’éponge… Qu’il n’était pas né comme tout le monde mais qu’il se créait par les autres.

CE POUVOIR EST-IL, POUR VOUS, UN AVANTAGE (NOTAMMENT POUR L'UTILISER POUR SAUVER LE MONDE) OU UNE CHARGE ? Lorsqu’on lui demandait si, pour lui, ses pouvoirs étaient un avantage ou une charge, il fronça les sourcils, un trait apparaissant sur son front. Il se mordit la lèvre inférieur, se gratta les cheveux, cette question n’était pas des plus aisées. Après un flottement d’une demi-seconde il commença à parler, avec son accent bien marqué qu’il ne cherchait pas à masquer le moins du monde, au contraire : « En fait,… Tu vois… Lorsque j’utilise mes pouvoirs, j’ai plutôt l’impression de faire une belle connerie. Non mais c’est vrai, j’en arrive à vouloir toucher personne, imagine. Non mais IMAGINE !! Si un jour je touche un mec immortel, ou bien quelqu’un radioactif ?! J’n’ai pas envie qu’on me prenne pour Jack Harkness ou bien qu’un jour où j’aurais bu une ou deux pintes de trop, je fasse sauter le centre ville ! » Derechef, il fronça les sourcils. Ah ouais, non, il n’avait pas répondu à la question, enfin, pas directement. Il se remit une mèche en place, attrapa le verre de… D’eau (bwah) et en but une gorgée.

Après s’être éclaircit la gorge, il reporta ses prunelles sombres vers l’interviewer. « A vrai dire, je ne peux pas dire si c’est un avantage ou une charge car quoi qu’il advienne, c’est et ce sera toujours les deux. Je peux aller sauver des gens simplement en courant, je peux voler des banques aussi mais bon… Si vous pouviez ne pas le noter hein, ce serait sympa… Bref je peux faire ce que je veux, m’amuser ! Et d’un autre côté, d’un putain d’autre côté je suis simplement là en attendant que quelqu’un un jour m’explose, genre Lex Luthor, tu vois. Parce qu’il n’faut pas se leurrer hein, au moment précis où la population découvre que des gens ont des pouvoirs, en plus que des gens ont désormais peur de nous, certains veulent nous exterminés. T’auras beau vouloir aider les gens, aider autrui… Tout le monde à toujours peur de ce qui est différent. »

Il se redressa en arborant un large sourire, celui des enfants lorsqu’ils savent qu’ils ont bien répondu lorsqu’on leur demande quel est le plus long fleuve d’Afrique. (Précisons que vous n’avez pas à répondre à la question…). « Euhm… C’est tout ? Vous avez d’autres questions ? » Demanda-t-il plus doucement que lors de sa précédente intervention. Son interlocuteur lui répondit qu’ils avaient terminés, une étincelle jaillit dans les yeux du hero et il lui demanda simplement : « Je connais un peu sympa à deux rues d’ici, ça vous dit d’y aller ? ». Parce que oui, il y a deux choses importantes dans la vie (selon lui, tout le monde n’est pas obligé de partager ses opinions, et selon moi, parfois, heureusement, il n’est vraiment pas facile à vivre…) et ces choses sont l’alcool et la drague.

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▾ CHAPTER THREE

10 things about me, myself and I

I’m british, did I say that?

Lorcan, comme nous l’avons déjà dit, viens de Grande-Bretagne, mais pourquoi a-t-il quitté son pays ? Telle est la grande question. Parce qu’honnêtement, il appelle « Yankee » les trois quart des américains, déteste leur manière de vivre, de parler de s’habiller, mais honnêtement… C’est lui qui a changé de pays, pas eux. Et bien, il a déménagé pour une fille lorsqu’il avait presque vingt-quatre ans, elle l’aimait, il l’aimait, tout était parfait. Jusqu’au jour où elle lui annonça de but en blanc qu’elle devait rentrer au pays (Au Etats-Unis donc, pour ceux qui n’auraient pas compris…) Hum, pardonnez les intrusions du clavier, c’était le chat, vous le comprendrez aisément… Il lui demanda de l’épouser, comme ça, sans vraiment réfléchir et elle dit oui ! N’est-ce pas magnifique ?! Enfin, ça, c’était il y a un peu plus de deux ans…

« Lorcan, bébé, où est-ce que tu as mis le carton de vêtements d’hiver ? » lança Kaya d’un ton totalement détaché et un peu trop enjoué. Le jeune homme leva les yeux de son ordinateur, remonta d’un doigt ses lunettes et répondit tout simplement « Au grenier… » Avant de recommencer à taper sur le clavier. « Je crois ». Et ce fut leur première dispute. Non, non, pas ces quelques mots mais lorsque la jeune femme monta sous les toits, à la recherche de ses fameux petits pulls, elle ne put s’empêcher d’ouvrir « Lorcan. Photos, etc. Fragile. Ne pas ouvrir ». Lorsqu’elle redescendit avec le carton, tout ce qu’il trouva à dire fut « Argf, c’est le ‘ne pas ouvrir’ hein… J’n’aurais pas du mettre ça. ». Et elle commença à crier, hurler. « Mais t’es qu’un putain de pédé ! » Il haussa les sourcils, fronça le nez. « Attends… C’est ça qui te choque chez moi ? T’as vu toutes les photos dit ? » Elle les parcouru rapidement, dont celles où le britannique n’était qu’à moitié présent sur les photos. « Et alors ?! Non mais tu t’es tapé des mecs bordel de nom de Dieu ! » Il ferma son ordinateur, et croisa les bras sur son torse, c’était la première fois qu’il l’entendait jurer. Non mais franchement de quoi je me mêle ! « Kaya, je suis avec toi là non ? » « QUI me dit que tu m’es fidèle hein ?! » Il ne put s’empêcher de se gratter la tête, comme à chaque fois qu’il ne savait pas trop quoi dire, comme lorsqu’il était assez embarrassé, ou étonné, ou même déçu. « Donc si on suit ton idée, lorsque tu me croyais hétéro, j’étais donc fidèle, et maintenant que tu sais que je… Bah que je ne suis pas à cent pour cent dans le droit chemin comme mon père disait, et bien, je ne le suis plus ? Chérie, c’est du n’importe quoi… »

Ça dura toute la soirée. Il n’avait pas vraiment l’habitude de s’énerver donc resta assez calme, ce qui agaça énormément l’américaine. Mais que pouvait-il dire de plus ? Rien. Il n’y avait rien à dire. Il n’allait pas lui mentir sur qui il était, si ? Leur histoire dura encore un peu moins de deux mois et ce fut la fin. Enfin bref, il vivait désormais aux Etats-Unis, un endroit aux paysages magnifiques, lui offrant des tonnes de possibilités. Il ne connaissait personne (ou presque –Kaya–) et décida que s’offrait pour lui une nouvelle vie.