GENESIS
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 EVIE □ last train to paris.

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Genevie Burghs
heaventhe scars of your love reminds me of us, they leave me breathless
Genevie Burghs


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MessageSujet: EVIE □ last train to paris.   EVIE □ last train to paris. EmptyMer 30 Mar - 3:53

BURGHS, GENEVIE.
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-AGORAPHOBIA

▾ CHAPTER ONE
NOM, PRENOM : Burghs, Genevie. Ses origines italiennes ne sont pas vraiment visibles à travers son patronyme mais elle les cite avec fierté. Son prénom Genevie est un dévié d'un autre prénom Genevieve.
DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Elle est née le 15 mars 1981 à Naples, en Italie.
COMMENT S'EST DEROULE VOTRE ENFANCE ? Genevie a grandi à Naples, dans le sud de l'Italie, avec sa petite sœur. Elevée grâce aux valeurs religieuses, morales et sociales, elle a toujours bénéficié d'une enfance assez stricte. Elle est entrée dans une école privée assez sélecte et en est ressortie, une fois son bac en poche. Avec sa soeur, elle ne s'entendait pas vraiment. Elles étaient si différentes. L'une était blonde, possédait une paire d'yeux bleus et un teint pâle, tandis que l'autre possédait une longue tignasse brune, des yeux marrons et une peau hâlée. Ce fut peut-être cette succession de différences qui les empêcha de s'apprécier. Sans doute.
METIER/ETUDES : Coach sportif d'une équipe de baseball masculine.
POUVOIR : Manipulation des rêves.
GROUPE : Heroes.

▾ CHAPTER TWO
RACONTEZ LA FOIS OU VOUS AVEZ DECOUVERT QUE VOUS ETIEZ UN HEROES. J’ai découvert mon pouvoir à l’âge de quatorze ans. J’étais à Naples, dans ma ville natale, dans une chambre d’hôtel dans laquelle travaillait ma mère en tant que femme de ménage. J’étais censée l’aider à faire le ménage, pendant que le locataire de la chambre dormait à poings fermés. J’étais assise sur le lit à côté de lui et lorsque j’ai fermé mes yeux, j’ai senti que j’étais dans son esprit. C’était une sensation inexplicable. Une sensation que je ne saurais décrire. J’ai pensé à mes souvenirs de vacances, à mes amis que j’avais laissés. Au réveil du vieux monsieur qui dormait, il m’a parlé de ses rêves. Il était gentil. Il avait la peau craquelée et la voix rocailleuse de quelqu’un qui passe ses nuits à fumer sur son balcon. Il m’a raconté qu’il avait vécu des rêves bizarres, qu’il avait rêvé de ses vacances et d’amis d’enfance. Je ne lui ai jamais expliqué que ses rêves étaient en fait les miens. Je n’ai jamais pu, car il est mort quelques heures plus tard, dans son sommeil.
CE POUVOIR EST-IL, POUR VOUS, UN AVANTAGE (NOTAMMENT POUR L'UTILISER POUR SAUVER LE MONDE) OU UNE CHARGE ? Mon pouvoir n’est peut-être pas aussi utile que celui de voler mais j’arrive ainsi à entrer dans l’esprit des gens, sans entendre leurs pensées – ce qui peut devenir agaçant, à mon humble avis. J’utilise très peu mon pouvoir parce que mon but est de vivre normalement. J’ai entendu dire que des scientifiques veulent prendre à part ces heroes pour faire quelques expériences. Je trouve ça malsain. Personne ne m’ouvrira le crâne, personne n’exploitera mon système nerveux. Je trouve ça humiliant d’être considéré comme cela. Mon pouvoir est un don, je pense, mais je ne veux pas le montrer à la lueur du jour parce que j’ai bien trop peur que ce pouvoir change l’opinion que se font mes proches de moi-même. Je considère mon pouvoir comme une option. Un don avec lequel je vis mais que j’exploite peu. Je dois avouer que je m’en servais beaucoup, enfant. J’adorais manipuler les rêves de mes camarades et les intriguer, les faire tourner en bourrique. Mais lorsque j’étais adolescente, j’ai joué à ça avec mon père et j’ai perçu qu’il rêvait d’une femme autre que ma mère. Depuis ce jour-ci, j’ai cessé de jouer à ce jeu, parce que je me suis rendue compte à quel point ce jeu pouvait être dangereux.

▾ CHAPTER FOUR
PSEUDO : Everest, Floriane.
SEXE : Féminin.
OU AVEZ-VOUS TROUVE LE FORUM ?/COMMENTAIRES : In your pocket !
AVATAR :
Natalie Portman. I love you


Dernière édition par Genevie Burghs le Sam 23 Avr - 5:19, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: EVIE □ last train to paris.   EVIE □ last train to paris. EmptyMer 30 Mar - 3:54

EVIE □ last train to paris. Tumblr_limb7gQoLf1qeom19o1_500
Elle marchait au bord de l’eau, transparente et froide. Les larmes qui roulaient sur ses joues effervescentes et roses, se mêlaient allégrement à la mer. Elle tentait de sourire. Ses lèvres se retroussaient mais rien de plus. Les commissures de ses lèvres se relevaient légèrement et ses yeux lagons se replongeaient dans le désespoir. Elle marchait. Difficilement. Elle alignait des pas. Doucement. Précisément. Pour ne pas trébucher sur le sable brûlant. C’était sûrement ça sa force. Cette chaleur qui la faisait marcher d’un pas rapide. Elle marchait. Elle fuyait pour échapper à cette chaleur dévastatrice. Mais son cœur était vide. Vide de toute chaleur. Les soupirs et les pleurs ne pourront rien y faire. Elle est morte. Cette tache noire qu’on aperçoit de l’astre situé à des années lumières. Cette tache noire qui arpente les plages de Naples. Cette tache noire, c’est une femme morte. Une femme qui n’a plus la force de vivre. Sa peau est poudreuse, d’un teint hâlé. Mais en dessous de tout ce maquillage, de toute cette comédie, elle se meurt. Sa peau est blanche et pâle comme celle d’une poupée. Une poupée que l’on admire, que l’on envie, que l’on aime déjà. Une poupée qui nous attire, qui nous intrigue, qui nous rejette. Cette poupée-là n’a pas envie qu’on l’aime. C’est déjà trop tard pour elle. On l’a aimée. Pour un temps. C’est terminé. Cette poupée-là est persuadée qu’elle ne connaîtra plus l’amour. Celui qu’on rencontre une fois dans sa vie. Elle l’a perdu. Il a fui. Sans elle. C’est terminé. Elle a raté son train. Celui qui la menait à celui qu’elle aimait. Elle l’a vu partir. Elle l’a aperçu par la fenêtre de son wagon. Il la regardait, lui aussi. Mais pas un regard avec ces yeux emplis de passion et d’amour. Non, pas avec ce regard aimant qu’il lui adressait. Il la regardait. Tout simplement, sans artifice, sans aucune illusion. Il la regardait sincèrement. Il ne cachait plus sa haine envers elle. Il ne cachait désormais plus rien.
« Allez les Milwaukee Brewers, on se bouge ! Harrison, ramène ton cul ici et pose-moi ce téléphone ! Que ce soit clair, si on gagne pas ce match, on n’aura pas d’autre chance de briller pendant cette saison ! » Elle hurlait. Elle bougeait, parlait et fumait comme un garçon. Elle jurait, insultait et priait Dieu. Tout le temps. Elle était vulgaire, grossière et ne s’en cachait pas. Elle crachait sur la pelouse lorsqu’elle était en colère ; elle donnait des coups de pied dans la benne à ordures lorsqu’elle criait au désespoir ; elle déchirait les maillots de son équipe lorsqu’elle était au bord de la crise de larmes. Elle faisait trembler les gradins, avec sa voix rauque et délicieuse. Des goutelettes d’eau roulèrent sur son front, avant d’atteindre ses joues. Il pleuvait. Elle jura. Une nouvelle fois. « Le premier qui me dit que la pluie va vous empêcher de jouer, il est direct en remplacement ! Alors on se bouge, ou c’est moi qui vais vous bouger ! » Elle hurla. Une nouvelle fois. Et contrairement à ce que l’on pourrait croire, à la fin de la journée, elle n’était pas fatiguée. Elle s’épuisait sur ce terrain mais quand elle le quittait, elle était rechargée et encore plus active que la veille. Elle était infatigable. C’était sans doute pourquoi elle a été nommée entraîneur officiel de l’équipe masculine nationale. Elle était imprévisible, effrayante, impulsive. Elle poussa un soupir exténué. Elle sentit une ombre derrière elle. Après s’être retournée, elle ne put retenir les larmes qui allaient et venaient, au creux de ses yeux. Ses yeux s’embuèrent, ses mains chassaient ce rideau sombre qui venait masquer sa vue. Elle éclata en sanglots et soudain, sa vue revint à la normale. Il était bien là. Devant elle. Celui qui l’avait abandonnée. Celui qui l’avait fait souffrir. Celui qu’elle avait aimé. Se levant précipitamment, ses mains claquèrent pour prévenir les joueurs de quelques minutes de pause. Il était là, sur la pelouse jaunâtre du stade de Milwaukee. Il l’avait rejoint. Elle ne pouvait le croire. Elle avait mis tant d’années à effacer ce visage de sa mémoire. Pourtant, il lui semblait qu’elle le revoyait pour la première fois. Son visage était pâle, ses yeux retrouvaient ce regard qu’elle lui avait connu. Sans pouvoir plus réfléchir, elle le serra dans ses bras. Ce n’était pas une accolade amicale entre deux êtres qui s’étaient quittés. Elle pleurait. Il essuya les larmes qui coulaient et qui tombaient de son menton. « Qu’est-ce que tu fais ici, Harlem ? Pourquoi es-tu revenu, bordel ? » Elle retint ses larmes, recula de quelques pas. Elle avait passé tellement de temps à se reconstruire. Et il se permettait de revenir, comme si de rien n’était. Il avait osé l’enlacer. Il avait osé poser son menton sur son épaule. Il avait osé la regarder nouveau. « Pourquoi t’es là ? Pourquoi t’es revenu, cinq ans après ? Pourquoi ? » Elle se remit à pleurer. Ses mains se joignirent pour le taper. Elles cognaient contre son torse. Elle aurait voulu le renverser, lui faire comprendre ce qu’elle avait enduré. Il ne bougea pas. Ses yeux se posèrent sur elle et il lui caressa les cheveux, tandis qu’elle le repoussait. « Dégage. Je veux plus te voir dans la ville. Je t’en prie, dégage. C’est trop dur. Dégage de ma vie. »


Dernière édition par Genevie Burghs le Mer 13 Avr - 22:31, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: EVIE □ last train to paris.   EVIE □ last train to paris. EmptyMer 30 Mar - 4:02

TOUJOURS PAS DE SMILEY. tongue bounce bounce
C'est teuf ici, ou bien? bounce bounce Arrow
T'es belle en natalie mon petit marseillais (approuve ma bête de métaphore entre les bulles le savon, la ville… Arrow BREFF)
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MessageSujet: Re: EVIE □ last train to paris.   EVIE □ last train to paris. EmptyMer 30 Mar - 4:30

MON GÂTEAU BASQUE. EVIE □ last train to paris. 4282798970 EVIE □ last train to paris. 2990636004
Y a du monde dans la salle, ce soir! EVIE □ last train to paris. 2574002215
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