GENESIS
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 SHACK - The origin of illness (ended)

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Nick Shackleford

Nick Shackleford


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MessageSujet: SHACK - The origin of illness (ended)   SHACK - The origin of illness (ended) EmptySam 23 Avr - 22:38

MODELE DE PRESENTATION.
SHACK - The origin of illness (ended) 510212935717c9e6ab31b

JUSTBOY

▾ CHAPTER ONE
NOM, PRENOM : SHACKLEFORD Nicholas dit Nick
DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 5 novembre 1986 à Salford, Angleterre.
COMMENT S'EST DEROULE VOTRE ENFANCE ? En ce qui concerne l’enfance je peux dire que je n’ai pas été épargné. Mon père et ma mère ont eu un accident alors que je n’avais que cinq ans et ma sœur trois ans. N’ayant aucune famille directe en Angleterre, on a du déménager pour les Etats-Unis, où on a emménagé chez le frère de mon père, mon oncle, que je n’avais jamais vu. Il nous a tout de suite fait passer un enfer. On était ses larbins, et son fils était le petit roi. On n’a jamais rien dit, on s’est fait petits, on avait la chance d’avoir encore quelqu’un de la famille qui pouvait s’occuper de nous plutôt que l’orphelinat, alors on a fait profil bas, et puis on a vécu sous le choc de la mort soudaine de nos parents Ella et moi. Pourtant, s’il y a une chose que je ne regrette pas dans mon enfance, c’est la relation fusionnelle avec ma sœur. Si on n’avait pas été tous les deux, on aurait peut-être craqué avant, mais tant qu’on reste soudé, on reste invincibles.
METIER/ETUDES : Aucun. J’avais commencé des études de management quand c’est arrivé.
POUVOIR : Absorption vitale.
GROUPE : HEROES

▾ CHAPTER TWO
RACONTEZ LA FOIS OU VOUS AVEZ DECOUVERT QUE VOUS ETIEZ UN HEROES. « C’était un matin après un cours de sport des collégiens de Milwaukee. Comme d’habitude, j’en avais pris pour mon grade. On ne jouait qu’à des jeux de bourrins, et à l’époque j’étais plutôt petit et frêle – comme quoi on change avec le temps – alors je n’étais pas d’une grande aide dans les sports tels que le football américain. D’ailleurs, je n’avais jamais aimé ce sport…mais… » Le flic qui l’interrogeait ne semblait plus vouloir écrire, alors il se dit que c’était parce qu’il n’allait pas à l’essentiel, il abrégea donc : « on était dans les vestiaires, et certains garçons qui avaient fait partie de mon équipe cherchaient à se venger sur moi, parce qu’ils considéraient que j’étais responsable de leur défaite. Me bousculant, je ne mis que très peu de temps avant de m’énerver, parce qu’ils avaient touché un point sensible. L’un d’eux, qui s’appelait Eddy m’avait balancé à la figure : ‘Tes parents doivent avoir honte de toi.’ Sur le moment, je n’ai même pas cherché à comprendre s’il savait que j’étais orphelin ou non. Je l’ai agrippé par le t-shirt, et je l’ai fixé droit dans les yeux, prêt à lui coller une droite en pleine poire. Mais je ne l’ai pas fait parce que mes parents n’auraient pas été fiers. Alors sans le lâcher, j’ai juste souhaité qu’il sache ce que c’était la mort. » Il marqua une pause, le scribe écrivait d’une main leste. Regardant à la vitre, cherchant à se focaliser sur les gens qui l’observaient dans l’ombre, il finit par reprendre après un raclement de gorge du policier impatient de savoir la suite. « Et là une chose étrange s’est produite…Il s’est raidi, ses veines ressortaient fortement de tout son corps, les autres ont commencé à paniquer, et il faiblissait. Quelqu’un m’a tiré en arrière, j’ai perdu l’équilibre, je suis tombé, et ça s’est arrêté. » Son interlocuteur s’arrêta, visiblement intrigué par ce qu’il s’était passé. Il lui demanda même : « Sur le moment, comment vous êtes-vous senti ? » C’était une très bonne question, il n’y avait jamais véritablement songé : « Sur le moment ?! J’ai eu peur, car je ne savais pas que ça venait de moi, je me suis dit que ça aurait pu tomber sur moi. Mais un garçon de ma classe m’a assuré ensuite qu’il était comme moi, et que j’avais un pouvoir. » Il en disait trop car le policier le regardait comme s’il venait de découvrir une mine d’or. « Et quel était son nom ? » Nick bâtit soudainement en retraite, haussant les épaules : « C’est trop loin, je ne m’en souviens plus. »
CE POUVOIR EST-IL, POUR VOUS, UN AVANTAGE (NOTAMMENT POUR L'UTILISER POUR SAUVER LE MONDE) OU UNE CHARGE ? L’interrogatoire n’en finissait pas. Il avait l’impression de passer un examen. Nick devait mesurer chacun des risques auquel il s’exposait en disant trop de choses à la fois, cependant il était là pour échapper à la sentence, alors valait mieux mettre la balle dans son camp. « C’est loin d’être un avantage. On voudrait tous être normaux je pense. Je veux dire, je ne maitrise rien, je fais des choses malgré moi, et pour être honnête j’aurais préféré que rien de tout ça n’arrive. » Le policier le coupa : « Pourtant votre sœur a déclaré que votre oncle a eu ce qu’il méritait, qu’il vous bâtait tous les deux, et qu’il vous avait fait vivre un enfer. N’est-ce pas là une revanche ? Je suis sûr que vous vous délectez de sa mort au fond de vous. » Il était malin, il savait jouer avec les criminels, sauf que Nicholas ne se considérait pas comme tel et il savait que sa sœur n’avait pas dit une chose pareille, que seul Peter, son cousin avait pu dire une telle chose. Il sourit. « Peter est une poule mouillée. Il préfère vous payer pour que ce soit ma sœur qui trinque. Mais ce que vous ignorez monsieur, c’est que je suis loin d’être con, et à la différence de mon cousin, je n’ai peur de rien. Et je ne sais pas si vous le savez mais…je sais contrôler mon pouvoir maintenant, je pourrais vous infliger la même chose qu’à mon oncle… » Ce fut la phrase de trop.

▾ CHAPTER FOUR
PSEUDO : Justboy, Seanyboy
SEXE : M
OU AVEZ-VOUS TROUVE LE FORUM ?/COMMENTAIRES : Bazz' ! Et puis un forum d'Hollyvette ça a la classe, je pouvais pas rater ça! SHACK - The origin of illness (ended) 1256729911
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Dernière édition par Nick Shackleford le Dim 24 Avr - 1:51, édité 5 fois
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Nick Shackleford

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MessageSujet: Re: SHACK - The origin of illness (ended)   SHACK - The origin of illness (ended) EmptySam 23 Avr - 22:38


▾ CHAPTER THREE
ANECDOTE. Ca faisait plus de treize ans qu’Ella et Nick vivaient chez leur oncle. Treize ans de galère, quinze ans de silence, sur le traitement qu’il pouvait lui réserver. Ils étaient tous deux assis dans un hamac dans le grand jardin de leur oncle qui n’était pas encore à la maison. L’un contre l’autre, on aurait pu croire que tout allait bien, mais c’était se mentir. Si on s’attardait aux poignets d’Ella, on remarquait qu’ils étaient bleuis, meurtris par la force de leur oncle, qui, à chaque fois qu’elle défendait son frère, la saisissait violemment avant de l’envoyer au sol. Mais elle n’avait pas le même sort que son frère, qui se faisait rouer de coups les trois quarts du temps. Leur oncle était alcoolique, mais pas seulement. Il détestait les enfants de son frère. « On devrait aller voir une assistante sociale, Nick. » Il détourna les yeux vers elle, comme si elle avait dit une des pires conneries de sa vie. « Tu plaisantes ? Ils vont nous séparer. » Elle se releva légèrement, et fusilla son frère du regard : « Et lui pourrait finir par nous séparer aussi. On est pas bien ici. On a qu’à s’en aller tous les deux, on se trouve chacun un boulot et on vivra toujours mieux qu’avec lui. » Mais Nicholas était loin d’être d’accord. S’ils partaient tous les deux, il serait en faute, on l’accuserait d’avoir kidnappé sa sœur, et suffisamment âgé, il prendrait cher pour cela. « On a plus que trois ans à tenir ainsi. Après je te promets qu’on aura une toute autre vie. » Elle n’était pas sûre si elle était capable d’attendre. Voir son frère se faire taper, ça n’avait rien de plaisant. C’est ce moment que choisit l’oncle Daniel pour faire son entrée. Mais pas des plus amicales. Il arrivait en trombe vers eux en proie à l’alcool comme d’habitude. « Vermine ! Elle est où ma bouteille ? » Sous-entendu sa bouteille de vin qu’il avait laissé sur la table basse. Les deux gamins se relevèrent, et sentant que son frère allait passer un sale quart d’heure, Ella le devança : « Je l’ai jetée. Elle était vide. » Son oncle la regarda comme jamais il ne l’avait regardée. Cet air dédaigneux s’était transformé en une haine terrible, et il fonça sur elle et lui donna une gifle monumentale, qui était si forte qu’elle en tomba au sol. Aussitôt, l’oncle des deux jeunes se sentit faiblir, se contracter, ses veines apparaissaient le long de son corps, et si on regardait bien son neveu, il ne bronchait pas. Il avait ce regard fixe sur son oncle, qui semblait l’appeler au secours en vain. Ella qui s’était relevée, semblait choquée d’assister à une telle chose, mais elle ne l’empêcha pas. C’était au final le seul moyen de s’en sortir pour elle. Quand leur oncle tomba au sol, sans plus aucune énergie, livide, mort, elle s’empressa d’aller auprès de son frère. « Faut qu’on s’en aille Nick, dépêches-toi on prend nos affaires et… » Elle s’arrêta. Elle observa le visage de son frère, rempli d’émotions, cherchant à ne pas déverser de larmes : « Je l’ai tué. » Elle lui attrapa la main et elle lui répéta : « Il faut y aller. On prend des affaires, ses économies et on part. » Mais il ne l’entendait pas de cette oreille. « Non. Toi tu pars, moi je reste. » Elle s’étonna, et ne comprenait pas, pourquoi voulait-il se rendre ? « Personne ne sait que c’est toi Nicholas, ne va pas purger une peine pour ça, il le méritait. » Mais il détourna la tête vers le jardin d’en face, et observa la vieille dame qui les fixait, téléphone à la main. « Je les entends déjà arriver, leurs sirènes tonitruantes…Pars Ella, et quand je te dirais que ça sera le moment, on se retrouvera. Dépêches-toi, s’il te plait. » Sa sœur acquiesça, il voulait juste qu’elle ne vive pas un enfer par sa faute. Elle s’empressa d’aller prendre des affaires et elle partit rapidement, mais sans courir, ailleurs. Les flics ne pourraient se rendre compte qu’elle fuyait avant d’avoir interrogé la voisine. Quant à cette même voisine, Nick s’occupa de son cas : « Elle a fui. Je la retrouverais, et je la tuerais. Vous avez appelé les flics ? Je vous tuerais aussi. » Pourquoi dire des bêtises pareilles ? Pour ne pas qu’Ella soit impliquée. « Il méritait sa mort vous ne croyez pas ? » Les policiers arrivèrent, ils finirent par le menotter et il ne leur fit aucun mal. Pour le meurtre de son oncle, il fut jugé. Pour le meurtre de son oncle, il fut condamné à un bon nombre d’années de prison. Pour protéger sa sœur, il ne mentionna jamais qu’elle avait été là sur les lieux du crime, de toute façon la vieille avait assuré qu’il voulait s’en prendre à toute la famille. Par souci de sécurité, les flics le coupèrent de toute présence, il avait une cellule qui ressemblait à une chambre d’hôtel, le luxe en moins. Il ne sortirait pas. La salle était équipée de micros et enceintes, si on voulait lui parler on s’adressait à lui directement ainsi, car on ne pouvait prendre le risque de se faire tuer.

***

La jeune Ella Shackleford entra dans la pièce destinée au parloir à la prison de Milwaukee. Elle attendait son frère. Elle avait une bonne nouvelle. Mais bien sûr, il ne se pointerait pas. Elle le savait, elle attendait juste qu’on vienne la chercher pour la mettre en ligne avec lui. Elle lui en voulait quelque part. Elle ne l’avait plus vu depuis plus de six ans, presque sept. Elle n’avait même pas pu poser sa main sur la vitre au parloir comme le faisaient tous les autres ici. Personne n’avait le droit de le voir. Dans quel état était-il ? Il ne lui disait quelque chose à ce sujet, il ne voulait surement pas l’inquiéter. On vint enfin la chercher. Mademoiselle Shackleford. Elle avait tenu à garder son nom, même si une famille d’accueil adorable l’avait adoptée. Elle leur avait d’ailleurs dit qu’il lui restait une famille, là en prison, et que dès qu’il sortirait, elle les quitterait, mais qu’il ne fallait pas qu’on lui en veuille pour ça. Son frère était la personne la plus importante à ses yeux. Elle attrapa le micro qu’on lui passa. Malheureusement, elle n’était jamais seule dans cette pièce, et cette fois ne dérogeait pas à la règle. Elle tenta tout de même : « Puis-je rester seule avec mon frère ? A défaut de pouvoir le voir, je voudrais pouvoir le retrouver sans que vous n’écoutiez comme des concierges. » Mais le garde lui fit savoir qu’il en était hors de question. Elle se plia une nouvelle fois aux règles. Elle commença alors : « Nick…C’est moi. Comme toutes les semaines. J’aimerais éviter de me lancer dans un monologue cette fois. Je voudrais t’entendre un peu. Tu me manques tu sais. J’ai hâte que tu sortes. Et je suis sûre que le temps passera bien plus vite que tu ne le penses. Je… » Mais elle entendit du bruit provenir des écouteurs qu’elle avait dans les oreilles. Elle savait bien qu’ils étaient sur écoute quand même, mais peu lui importait, ils ne comprendraient jamais. D’une voix inquiète, presque terrorisée, son frère brisa le silence : « Fais-moi sortir Ella, j’en peux plus, je suis même pas à la moitié… » D’entendre son frère ainsi lui déchira le cœur. « Ca ne sera plus très long, je te le promets…Je vais paraitre égoïste, mais j’ai rencontré quelqu’un de très bien, c’est un gars bien… » Elle espérait qu’il comprenne le stratagème qu’elle était en train de mettre en place. « Tu sais que je vais pas très bien ces derniers temps…Mais il a promis de m’aider…Nick ? Tu es là ? » Elle s’imaginait Nick allongé sur son lit, alors que ce n’était pas le cas. Il était debout fixant la porte opaque devant lui, comme s’il croyait que sa sœur se trouvait derrière. « Et c’est pour quand le mariage ? » dit-il simplement. Oui, il avait compris. « Le mois prochain. Je ne veux pas que tu m’en veuilles tu comprends…après tout ce temps, je ne peux plus attendre. » Oh bien sûr qu’il comprenait. Il n’avait qu’une hâte à présent. « Tu devrais y aller à présent. Perds pas ton temps pour moi. » Il avait raison, elle quitta le micro après cette phrase : « Je t’aime Nicholas, ne l’oublies pas. » Sachant très bien qu’il n’allait pas répondre la même chose, elle s’en alla, feignant la tristesse, mais un rictus se dessina sur son visage. Son frère allait bientôt sortir et elle s’en réjouissait.

***
Les Shackleford ne voyageaient plus seuls à présent. Nicholas était recherché par toute l’Amérique. Il était dangereux disait-on. N’avait-il tué que son oncle ? Depuis, il aurait pu tuer de nombreuses personnes et il ne l’avait pas fait. Certes la présence de sa sœur Ella avait aidé, elle refusait de le voir retourner en prison, mais elle savait qu’en le faisant libérer, il se lancerait dans une cavale. D’ailleurs, elle l’avait mis en garde le jour de son évasion, et de crainte de le perdre elle lui avait déclaré vouloir le suivre peu importe où, peu importe la galère qu’elle vivrait. Elle avait passé dix-huit ans ainsi. Ils voyageaient contraints de supporter une fille en plus. Pilar. Ella croyait au départ qu’elle en avait après son frère parce qu’elle cherchait à se faire connaitre comme la fille folle du bad boy en cavale, mais non, c’était tout autre chose. Elle ne cessait de répéter qu’il lui devait un service, et bien que Nick lui ait assuré que ça n’avait rien à voir avec une histoire sans lendemain, elle était sceptique. Mais Nicholas avait un plan et il avait trouvé un moyen de se faire oublier. Elle n’était pas blanche comme neige, Pilar. La Tchèque avait des choses à se reprocher. Tout comme lui, et c’était en ça que c’était intéressant. Et il y avait un plus dans tout ça. Elle était riche pleine aux as. Il avait demandé à sa sœur de se mettre en retrait, histoire de voir la jeune Pilar agir quand elle n’était pas dans les parages. D’ailleurs, la voilà qui arrivait. Pimpante, fraiche, souriante, ça ne lui ressemblait que très peu. Elle devait avoir une idée derrière la tête. Elle s’était matérialisée non loin de lui, ça prouvait bien qu’elle savait ce qu’elle faisait : « Je te cherchais. » Elle avait mis tant de temps à le trouver donc ? Il faisait nuit noire, et bizarrement elle ne se manifestait qu’à ce moment-là. « Tout le monde me cherche. » Mais elle se foutait de ce qu’il répondait tant qu’elle n’avait pas mentionné sa question, et elle se rapprocha de lui en disant : « T’as réfléchi à ma proposition ? » Il n’entendait que cette phrase, il avait l’impression qu’elle rembobinait une cassette usée à chaque fois. Souriant narquoisement, il lui répondit presque en riant : « C’est non. » De quoi l’énerver n’est-ce pas ? Mais la jeune femme ne se laisserait pas abattre. Elle avait besoin de lui, et elle continuerait de le harceler jusqu’à ce qu’il cède. « Bien. Dans ce cas, les gens vont vite savoir où tu te trouves, et je pourrais ajouter des éléments à l’enquête. » Il se mit à rire. Elle croyait vraiment le tenir ainsi ? Jouant sur la proximité, il s’approcha d’elle : « Tu sais ce que j’ai fait à mon oncle ? C’était un parasite comme toi. Et puis la prison, j’y ai passé sept ans. Ca m’a pas empêché de m’échapper…Tes menaces elles ne me font pas peur. Par contre ta vie ne tient qu’à un fil, alors ne joues pas trop avec le feu, tu pourrais te brûler. » Elle le fusilla du regard. Il avait réponse à tout. Elle devait changer de tactique. Elle posa ses mains sur son torse, et elle prit une voix provocatrice alors qu’elle lui murmurait à l’oreille : « Si tu m’aides…Tu pourrais obtenir quelque chose en échange… » Inutile de préciser quoi. Elle se mordilla ensuite la lèvre et fit tourner une de ses mèches entre ses doigts. Mais le jeu ne prenait pas. « Pour que tu me demandes un énième service derrière. Rêve encore. Je t’ai jamais demandé de me sauver la vie, alors va jouer les justicières ailleurs. » Pourquoi était-il si coriace ? Elle n’était tout simplement pas tombée, ou plutôt n’avait-elle pas choisi, la meilleure personne. « Très bien. » Et elle se téléporta. Elle avait perdu la bataille, mais pas la guerre. Elle aurait gain de cause.


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MessageSujet: Re: SHACK - The origin of illness (ended)   SHACK - The origin of illness (ended) EmptySam 23 Avr - 22:39

MY DEAR NEEEEL. I love you bounce
Bienvenue, je te réserve Phil et je te souhaite bon courage pour ta présa. tongue SHACK - The origin of illness (ended) 2990636004
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MessageSujet: Re: SHACK - The origin of illness (ended)   SHACK - The origin of illness (ended) EmptySam 23 Avr - 22:41

Bienvenue! I love you tongue
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MessageSujet: Re: SHACK - The origin of illness (ended)   SHACK - The origin of illness (ended) EmptySam 23 Avr - 22:43

HOLYVETTE AVEC NATALIEEEEEE! SHACK - The origin of illness (ended) 1378973249 SHACK - The origin of illness (ended) 2603259518 SHACK - The origin of illness (ended) 3563782329 Merci merci, il gère ton forum! SHACK - The origin of illness (ended) 3434240975

Merci beaucoup Olivia! SHACK - The origin of illness (ended) 3434240975
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MessageSujet: Re: SHACK - The origin of illness (ended)   SHACK - The origin of illness (ended) EmptySam 23 Avr - 23:00

T'aurais pu mettre Nico, comme Nico le petit renne SHACK - The origin of illness (ended) 3446682104
Spoiler:

SHACK - The origin of illness (ended) 3584649870 SHACK - The origin of illness (ended) 1378973249 SHACK - The origin of illness (ended) 3434240975 I love you I love you
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MessageSujet: Re: SHACK - The origin of illness (ended)   SHACK - The origin of illness (ended) EmptySam 23 Avr - 23:03

Je connaissais même pas Niko le petit renne! SHACK - The origin of illness (ended) 277638789 Merci! SHACK - The origin of illness (ended) 3584649870 SHACK - The origin of illness (ended) 3434240975
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MessageSujet: Re: SHACK - The origin of illness (ended)   SHACK - The origin of illness (ended) EmptyDim 24 Avr - 1:51

J'ai fini ma fiche! SHACK - The origin of illness (ended) 3864879675
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MessageSujet: Re: SHACK - The origin of illness (ended)   SHACK - The origin of illness (ended) EmptyDim 24 Avr - 1:55

J'adore, je te valide, fée du logis (ça va te suivre SHACK - The origin of illness (ended) 277638789 ). Bon jeu. I love you
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MessageSujet: Re: SHACK - The origin of illness (ended)   SHACK - The origin of illness (ended) EmptyDim 24 Avr - 1:56

Mais je suis pas une fée du logis arrêtes! SHACK - The origin of illness (ended) 2184292159
Merci! SHACK - The origin of illness (ended) 3563782329
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