Sujet: olivia ▲ cherry blossom girl Mer 30 Mar - 2:46
▷ OLIVIA BENCEEVS
gotswagonedge@TUMBLR ▲ air's song
▾ CHAPTER ONE NOM, PRENOM : Mon nom est Olivia Benceevs. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Je vis à Milwaukee depuis plus de quatre ans, je suis née à Oklahoma City, où j'ai grandit jusqu'à intégrer un lycée ici-même. COMMENT S'EST DÉROULE VOTRE ENFANCE ? Plutôt amusante je dois dire. À l'école, il m'est arrivée de nombreuses choses, j'ai vécut des moment inoubliables, mon pouvoir m'a aussi beaucoup travailler l'esprit mais pendant tous ce temps je l'ai apprivoisé et ce fut assez drôle. Malgré ces choses là, mon père est décédé lorsque j'avais seize ans, dans un accident de voiture. Ma mère ne s'en est jamais remise, j'ai dut partir vivre chez ma tante à Milwaukee car elle pouvait plus s'occuper de moi. METIER/ETUDES : Serveuse au Coast at Zilli. POUVOIR : Pyrokinésie. GROUPE : Heroes.▾ CHAPTER TWO
«I don't want to be shy, Can't stand it anymore I just want to say 'Hi', To the one I love Cherry Blossom Girl»
RACONTEZ LA FOIS OU VOUS AVEZ DÉCOUVERT QUE VOUS ETIEZ UN HEROES.Je n'étais pas bien âgée. J'avais environ neuf ans, et je me promenais main dans la main avec mes parents. Nous étions au bord d'une route, il faisait nuit et nous étions tombés en panne. Au bout d'une heure de marche, nous nous assîmes sur le sol et attendîmes que le jour se lève et qu'une voiture passe enfin sur cette route déserte. Mon père tenta d'allumer un feu de bois, pour que lui puissions nous réchauffer, le feu eut vraiment du mal à partir, pour l'aider je pris un bâton. Soudain, l'extrémité du bâton se mit à fortement bruler, ma mère cria et m'ordonna de rester éloignée du feu. Lorsque je m'assis, je sentais que ma main me brulais, j'avais chaud, je ne sentais plus rien au touché. Finalement, le feu de mon père s'éteignit et nous retournâmes s'endormir dans la voiture. Je ne dormis pas de la nuit. Seule sur la banquette arrière, au alentour de quatre heure je décida de sortir. Je m'assis dans l'herbe et commença à observer mes mains, je posa la main sur le sol et soudain, le phénomène repris, je me sentis mal, j'avais chaud et une petite flamme commença à jaillir du creux de ma main. Je ne le révéla jamais à mes parents. CE POUVOIR EST-IL, POUR VOUS, UN AVANTAGE (NOTAMMENT POUR L'UTILISER POUR SAUVER LE MONDE) OU UNE CHARGE ?Maitriser le feu à pour moi été une révélation, j'ai toujours été très nerveuse, même enfant, je n'ai jamais eut de très bonne relations avec mes camarades de classes avec qui j'étais sans cesse intransigeante. J'aurais put avoir le droit de présenter les aventures d'une petite cheminée de train, toute rouge avec des évaporations de fumée violentes par les oreilles. À l'époque cela ne me faisait même pas rire, je m'en fichais même. Mais aujourd'hui je crois que ça me fais rire. Je m'emporte un peu là, non? Revenons. Oui, donc non je ne peux pas vraiment dire que c'est une charge puisque ça apaise mes nerfs, je suis une vraie pyromane, donc c'est un réel plaisir de bruler pour moi. Mais après si vous attendez de moi que je viennes vous sauvez d'un iceberg un peu trop encombrant, je me déplacerais peut-être mais là aujourd'hui, à Milwaukee je vois mal comment mes capacités pourraient vous être utile… ▾ CHAPTER FOUR PSEUDO : Calvaries. SEXE : Je suis une fille. OU AVEZ-VOUS TROUVE LE FORUM ?/COMMENTAIRES : J'ai reçu un coup de fil de Peter Parker pour prendre le thé chez Grand May. AVATAR : Megan Fox.
Dernière édition par Olivia Benceevs le Sam 23 Avr - 4:13, édité 10 fois
Olivia Benceevs oli △ small flame of madness if anyone knew how it illuminates the life!
Sujet: Re: olivia ▲ cherry blossom girl Mer 30 Mar - 2:46
▾ CHAPTER THREE
fuckyeahqueenofporn@TUMBLR «I feel sick all day long, From not being with you I just want to go out, Ever night for a while Cherry Blossom Girl»
Je suis née un jour d’été, ils étaient tous rassemblés autour d’elle. Tous étaient venus, de loin même pour certains. Ma mère était là, allongée sur ce long fauteuil que le médecin lui avait apporté lorsqu’elle avait décidé de faire son accouchement à domicile. Je fus donc née ici, sous les yeux de tous, sur la grande terrasse de notre maison qui donnait sur notre jardin. Les voisins avaient sûrement dû entendre mes pleurs, un nouveau-né se fait souvent plutôt bien entendre. Ma mère me répéta de nombreuses fois que j’avais lancé des cris atroces, mais jamais je ne fis attention à ce détail sans importance à mes yeux. La température était lourde, le bleu du ciel était aveuglant, les oiseaux osaient à peine voler. Mon père était un homme honnête, il travaillait au concessionnaire du quartier, dans son uniforme habituel, c’est-à-dire son pantalon de costume beige et sa chemise bleu ciel, il sortait de la maison, entrait lourdement dans notre voiture - une bmw - et démarra. Il ne faisait pas plus de 300m, son commerce était au bout de la rue, mais jamais un seul des employés ne se permettrait de venir à pied. Mon adolescence fut assez simple mais aussi très compliquée. Sans me vanter, j’étais très appréciée de la gente masculine, et je ne m’en plaignais pas. J’eus de nombreux copains, amants, partenaires… J’avoue avoir eut plus d’une fois des relations avec plusieurs personnes, j’avoue avoir couché avec des personnes de dix ans de plus de mon age, et j’avoue même en avoir abuser pour des fins personnelles. Je sais, tout ceci est mal. Mais je n’avais que ça, mes parents n’étaient pas des banquiers de la cote ouest, je n’avais ni frère, ni sœur, ni aucune autre relation proche avec des gens de mon age. Je n’avais pas vraiment de copine, sûrement pour cette raison. J’avais fait plus de mal aux filles de mon lycée qu’aux garçons, et pourtant je ne leur adressais jamais la parole. J’avoue m’en être amuser, mais c’est vraiment quelque chose qui m’a longtemps pesé au fond de moi, je n’ai trouvé que ça pour me mettre en valeur, et je n’arrive pas à me défaire de cette image de moi.
«Tell me why can't it be true I never talk to you, People say that I should I can pray everyday, For the moment to come Cherry Blossom Girl»
Je n’ai jamais apprécié les cours de philosophie, je ne m’y suis jamais intéressée plus que ça en vérité. À part en classe, je ne me pose jamais ce genre de question, c’est vrai qu’elles sont intéressantes, mais je n’y prends pas goût. Mon téléphone vibrait dans le fond de mon sac. Étant en fond de classe je n’hésite pas à fouiller dedans, plonger ma main et prendre l’objet désiré. Ma mère essayait de m’appeler, je ne pouvais lui répondre. Je lui raccrochai donc au nez, et balançai mon portable comme je le faisais habituellement au fond de mon sac. Dix minutes plus tard, mon proviseur entra dans la salle, il semblait anormal. En entrant il chuchota un mot à mon professeur, les deux me dévisagèrent. La classe remarqua. «Mlle Benceevs, veuillez… Veuillez me suivre s’il vous plait. Votre mère est là.» Je ne comprenais pas. Seulement, vu son expression, je ne me sentais pas à l’aise. Ma mère ne s’était jamais rendue à mon lycée. Normalement c’était papa qui venait. On me fit asseoir dans une salle, le proviseur entra dans la suivante et fit entrer ma mère. Elle se jeta dans mes bras. Elle pleurait et ne semblait pas s’être arrêté depuis qu’elle avait commencé. Je la serrai donc contre moi, sans comprendre. «Ton père…» Malheureusement elle ne pu finir sa phrase, elle ne savait comment me le dire. Je ne comprenais rien. Ensemble, elle et Mr Hengins, ils me firent m’asseoir. La mère s’assit donc près de moi et me prit les mains, elle avait un regard que je n’avais jamais vu auparavant. «Ce matin, lorsque tu es partie, ton père lui aussi s’en est allé… Il a eu un accident…» Elle se remit à pleurer. «Toutes mes condoléances Mlle, bien évidement nous nous attendons à ne pas vous voir pendant un certain temps, j'appréciais beaucoup votre père…» Je voulus me réveiller, un élan de panique s’éprit de moi, je ne savais pas quoi dire, je l’aimais, plus que quiconque. J’attrapai ma mère dans mes bras, je l’enlaçais, je pleurais à moitié, je ne voulais plus revenir dans cet endroit, je ne voulais qu’une chose c’était de m’endormir dans mon lit, revenir dans le passé, passer plus de moment auprès de lui, l’écouter me parler, lui dire que je l’aimais…
Assise sur un blanc, je pleurais. Je voulais oublier. Cela faisait un mois que je n’étais pas sortie de chez moi, c’était la première fois depuis que ma mère était venue me chercher au lycée. Mes pensées étaient vagues et lourdes à la fois. J’avais comme l’impression de les sentir à l’intérieur de mon crâne. Ces souvenirs en sa présence devenaient de plus en plus douloureux. Qui dit douleur, dit cicatrice. Une cicatrice ne s’efface jamais, et si c’est le cas, c’est avec beaucoup de temps qu’elle s’en ira. J’ai encore du mal à tenir une conversation, même avec ma mère. Je ne réponds plus au téléphone, même à la famille. J’ai du mal à parler. Le jour de l’enterrement, je n’ai rien dit. Nombreux étaient ceux qui bien évidemment nous adressaient leurs condoléances, mais qui nous proposaient toute l’aide dont nous pouvions avoir besoin. Je ne suis pas habituée à ce genre de chose. J’avais pris avec moi – ou plutôt ma mère me proposa d’emporter – quelques bières. Dans mon sac, se trouvait un paquet de cigarettes brunes, que je fumais de temps en temps, lorsque j’en sentais l’envie. Je conservais aussi un album photo. Depuis l’enterrement de papa. Maman me l’avait donné avant que nous allions rejoindre le corbillard qui nous attendait devant la maison. «Ton père l’a monté, il a découpé certaines photos et les a aménagées. Il était fasciné par ce petit travail manuel, tu verras c’est très amusant. Nous avons écrit les petites bulles de dialogue tous les deux.» Le carnet n’était pas bien grand, mais plutôt épais. Les photos de moi petites étaient toutes découpées, et recollées de manières à former comme une planche de bande dessinée. En effet, j’aimais beaucoup. Lorsque j’observais les détails d’attention qu’il eut pris, je ne pus m’empêcher deux ou trois fois de verser une larme. Je m’étais assise dans le parc deux rues derrière la maison. Je revisionnais pour la centième fois ce petit bouquin amusant. Il était tard, et j’avoue m’être endormie, la tête sur le cahier. Une interpellation me réveilla. «Salut !» Je me redressai, les cheveux en pagaille. «Désolé de te déranger, mais… C’est-à-dire que y’a une voiture de pigs* juste derrière là-bas et… je doute qu’ils continuent leur route en te voyant comme ça…» Je ne savais que dire, mon seul reflex sur celui de me recoiffer rapidement, de baisser les yeux tout en adressant un timide sourire à cet inconnu. La voiture avançait. «Tu veux bien t’asseoir ? J’aurais l’air un peu moins suspecte…» Il ne refusa pas. Son sourire était sûrement l’un des plus radieux que je n’avais jamais vu. Il me tendit sa main. «Enchanté, je suis Cael.» «Je m’appelle Olivia… Tu viens souvent ici ? C’est la première fois que je te vois.» «J’habite juste là, au croisement avec l’avenue Wilson, mais je crois que nous sommes dans le même lycée, je t’ai déjà vu, tu dois donc habiter le coin aussi !» «Oui, je vais à Springfield College» «J’y suis aussi» La voiture venait de s’en aller. «Je te remercie infiniment de m’avoir aider, je ne sais pas ce qu’ils m’auraient fait si tu n’avais pas été là auprès de moi !» «Ne t’en fais pas vas !» «Non, vraiment, je te remercie.» Je lui souris, il me le rendit. Il avait ce charme que personne ne peut nier, il avait quelque chose qui faisait que je me sentais en sécurité avec lui. Je n’avais plus de crainte. J’appréciais énormément sa présence. «Tu vas quelque part ?» «Et bien, je me rendais à l’épicerie acheter quelque chose à boire, cette chaleur m’étouffe !» «Tu en veux une ?!» Je lui proposa donc une bière soigneusement conservée avec moi. «Bon, elle n’est pas fraîche mais…» «J’accepte, j’ai vraiment très soif.» Il but une gorgée. La chaleur avait en effet réchauffé en quelque sorte le liquide mais Cael resta poli et me dit surmenant un des plus beau compliment que je n’eu jamais entendu : «Cette bière n’est vraiment pas bonne, mais ta présence et l’attention que tu lui a donner ont fait qu’elle a fait de moi un homme heureux.»
«I just want to be sure, When I will come to you When the time will be gone, You will be by my side Cherry Blossom Girl»
À cette époque, j’avais un copain, c’était Chuck, un gros baraqué de l’équipe de baseball. Notre « relation » si je puis appeler ça comme ça n’était pas véritablement ce dont chacune rêverait chaque nuit. Nous nous voyions environ trois à quatre fois par semaine, nous n’étions pas un couple officiel, mais tout le lycée savait pour nous deux, nous nous donnions la main dans les couloirs et les mains baladeuses étaient beaucoup moins timides. Ca fait environ un an que ça dure, mais bon, Chuck est du genre gentleman quand il le faut, il m’emmène dans de beaux endroits, il me protège. Au lycée, avec Cael, nous nous lancions quelques fois de petits regards amicaux, mais jamais en présence de Chuck. Dans ces cas-là, il m’ignoraient, ou c’était moi qui l’ignorait, je ne sais plus très bien. Dans le quartier, je me promenais de plus en plus pour le retrouver, je le vis donc certaines fois sur ce même banc. Un soir je l’invita chez moi, et là quand je vous dit que je connus un moment intense, ce n’est pas un mensonge. Je n’avais pas ressenti cela depuis des années. J’avais l’impression de tomber amoureuse. Notre nouvelle relation resta cachée aux yeux de tous au lycée. Je ne pouvais choisir entre l’un ou l’autre. Choisir entre l’avenir et la protection ou alors partir avec l’amour, le cœur et le destin ? Je ne savais plus où j’en étais. Le relation cachée que j’entrepris avec Cael dura environ huit mois. Cael ne supportait plus le fait que j’ai aussi cet autre homme dans sa vie. Il voulait le frapper à chaque fois qu’il l’entendait ouvrir la gueule me racontait-il. Cael, ayant fait du volontariat en médecine pendant des années avec ses parents fut appelé pour une mission en Irak. Sûrement une des plus belle opportunité pour sa carrière de médecin. Il décida donc de l’utiliser pour me faire craquée. Un soir il me donna rendez-vous devant chez lui : «Écoute, jamais je ne te quitterais, je t’aime, mais tu dois faire un choix. Soit tu le quittes et dans je resterais auprès de toi, soit je m’en vais.» «Pour partir où ?!» «On m’a proposé une mission en Irak» «Mais tu es fou, non je ne veux pas que tu partes» «Alors quittes-le !» Je ne pu choisir comme ça, sur le moment, j’étais trop craintive de ce qui pouvais lui arriver, j’avais peur, je ne savais pas écouter son cœur, je ne me rendais pas compte a quel point il allait mal. Je ne répondis rien, pendant cinq minutes, ma bouche resta fermée. «J’ai compris» Puis il rentra à l’intérieur. Suite à cela je pleura devant sa porte, il en sortis tout de suite après, le sac a dos déjà prêt. Je lui courus après, mais il monta dans une voiture et s’en alla. Je ne m’en serais jamais remise. Je sombrai dans une déprime atroce, au final ce fut Chuck qui me quitta, ne voulant plus batailler pour m’arracher ne serait ce qu’un sourire. J’avais peur, sans cesse, je craignais que l’on ne vienne m’apprendre la mauvaise nouvelle. Je regardais les informations télévisées 24h/24, j’étais sous tension. Après des mois horribles à déprimer chez moi, je décidai de lui écrire une mettre où je lui demandais pardon, où je lui disais que j'étais prête a tout pour me faire pardonner. Mais je n'eus jamais de réponse. Cependant je ne cessa jamais de l'aimer. Je n’ai plus jamais regardé un homme depuis. Ma mère sombrait dans l’alcoolisme depuis la mort de mon père, elle ne voulait plus m’adresser la parole et devînt un peu folle. Je fis de mon mieux pour l’aider, mais elle me jeta comme un mal propre. Elle décida donc de m’envoyer vivre chez sa sœur, loin, très loin. À Milwaukee.
Dernière édition par Olivia Benceevs le Sam 23 Avr - 9:17, édité 19 fois
Genevie Burghs heaven ♆ the scars of your love reminds me of us, they leave me breathless