Sujet: HARLEM ◮ Love is poison. A sweet poison, yes, but it will kill you all the same. Dim 24 Avr - 7:50
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▾ CHAPTER ONE NOM, PRENOM : WHEELERS, Harlem Thomas Curtis. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 24 Janvier 1975 à New-York. COMMENT S'EST DEROULE VOTRE ENFANCE ? Harlem a connu une enfance heureuse. Ses parents n'étaient peut-être pas le couple le plus aisé de New-York mais ils ont toujours fait leur possible pour que leurs enfants ne manquent de rien. Harlem s'est toujours très bien entendu avec eux et depuis sa plus tendre enfance il est très proche de son frère et de sa soeur. Lucas, son frère aîné, avec qui il a parfois connu quelques rivalités et Eleanor, sa jeune soeur qu'il a toujours surprotégée. Gamin débrouillard et discret il ne s'est que rarement attiré de problèmes (sauf quand il prenait responsabilité pour les fautes de son aîné ou qu'il cherchait à protéger sa soeur avec ses poings plutôt qu'avec ses mots). METIER/ETUDES : Il a effectué avec brio son cursus en médecine pour finalement décider de rejoindre une ONG et parcourir le monde afin de sauver des vies. Il y a peu de temps il a mis cette vie de côté afin de retrouver celle qu'il aime. Toutefois il le sait très bien, la médecine viendra à lui manquer. GROUPE : Humains.▾ CHAPTER TWO QUELLE EST VOTRE OPINION SUR L'EXISTENCE DES HEROES ? Je n'ai pas vraiment un avis arrêté sur les heroes. Disons que pour moi ils sont comme n'importe quel autre être humain. Leur pouvoir les rend peut-être différents mais il ne les rend incapables d'erreurs. Ce que je veux dire c'est que comme toute personne, il sera capable de prendre autant de bonnes que de mauvaises décisions, et c'est en ça que se déterminera sa valeur. J'ai été très jeune au courant de leur existence et si je n'en ai pas croisé à chaque coin de rue j'ai pu observer qu'ils étaient comme vous et moi, capacité surnaturelle mise à part. Dotés de défauts et de qualités ils restent responsables de leurs choix et actions et c'est bien ces décisions qui feront de lui ce qu'il est. Son pouvoir ne le détermine pas, ce qu'il choisit d'en faire qui donnera le ton. QUEL RAPPORT ENTRETENEZ-VOUS AVEC LES HEROES QUE VOUS CONNAISSEZ ? C'est grâce à mon frère aîné que j'ai découvert l'existence de ces êtres "extraordinaires" ou tout du moins aux capacités peu courantes. Alors qu'il avait quinze ans, et moi douze, il s'est rendu compte que ses excellents réflexes n'étaient peut-être pas d'origine naturelle. Depuis toujours adroit et habile, Lucas comprit peu à peu qu'il était capable de rattraper un verre qui tombait alors même que personne n'avait eu le temps de prendre conscience de la chute. Cette découverte le rendit arrogant, imbu de lui même et il se mit bien rapidement à s'en servir pour son propre profit. Comment lui en vouloir ? Je ne pourrais dire que je n'aurais pas fait la même chose si les rôles avaient été inversés. Joueur vedette de baseball sa carrière explosa bien rapidement et il nous oublia tout aussi rapidement, désormais en haut de l'affiche. Il aurait pu utiliser son pouvoir à des fins altruistes, aider les autres. Il a décidé de n'aider que lui-même. Je ne lui en veux pas, je suis simplement déçu.
▾ CHAPTER FOUR PSEUDO : Laura. SEXE : Feminin. OU AVEZ-VOUS TROUVE LE FORUM ?/COMMENTAIRES : Par mail de masse et par Bazzart. Je le trouve superbe et je suis tombée amoureuse de ce scénario (en plus Natalie/Casey ils formeraient un couple trop canon au cinéma ) AVATAR : Casey Affleck.
Dernière édition par Harlem Wheelers le Dim 24 Avr - 8:54, édité 3 fois
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Sujet: Re: HARLEM ◮ Love is poison. A sweet poison, yes, but it will kill you all the same. Dim 24 Avr - 7:50
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▾ CHAPTER THREE
« Alors là, tu comprends bien que je ne pouvais pas rester sans rien faire ! Ce genre de personne me débecte tellement ! Du coup j'ai… HEY ! Mais faites attention où vous mettez les pieds, regardez ce que vous avez fait ! » Harlem, son gobelet de café désormais moitié vide, fixa la tâche sur le chemisier blanc de la jeune femme et grimaça nerveusement. Il esquissa un geste pour éponger les dégâts mais elle le stoppa en raccrochant rapidement son téléphone. « Laissez tomber ça changera rien de toute façon, j'ai un rendez-vous important dans une demi d'heure je n'aurais jamais le temps de rentrer me changer! » Elle semblait furieuse, ce qui pouvait e comprendre. Et Harlem qui ne décrochait toujours pas un mot. Elle le regarda comme s'il était fou, cherchant ce qui n'allait pas chez lui, puis entrouvrit la bouche, sans doute pour déverser une nouvelle floppée de reproches quand le jeune homme leva la main pour l'en empêcher. « Attendez moi ici. Dix minutes, pas plus, promis. » Il ne lui laissa pas le temps de répondre et quitta les lieux au pas de course, un sourire satisfait sur les lèvres.
Neuf minutes et quarante-deux secondes plus tard il franchissait de nouveau le pas de porte du Starbuck, un sac en main qu'il tendit à la jeune femme. « J'espère ne pas m'être trompé sur la taille. Je me suis permis de prendre un coloris qui, je pense, vous ira à ravir. » Intriguée, la brunette plongea la main dans le sac pour en sortir un chemisier corail tout neuf. Incapable de dissimuler sa surprise elle releva un regard interloqué vers Harlem qui ne la laissa même pas en placer une. « C'était le moins que je puisse faire. J'espère simplement que ce n'est pas à un rendez-vous galant que vous vous rendez parce que j'en serais très déçu. » Il esquissa un sourire franc, à la fois fier et amusé d'être parvenu à rendre muette de surprise cette jeune femme qui semblait pourtant avoir la langue bien pendue et une personnalité enflammée. « Et si jamais un jour vous voulez que je vous offre un café plutôt que de le renverser sur votre chemisier, n'hésitez pas à m'appeler. » Il glissa sa carte de visite dans le sac que tenait encore la jeune femme et lui adressa un clin d'œil mi-dragueur mi-complice avant de quitter de nouveau les lieux. Une fois dehors il pu relâcher la pression et soupira franchement. S'il avait fait son possible pour paraître naturel et détaché, il n'en bouillait pas moins de l'intérieur quand son regard avait croisé celui de la belle brune. Parce que cette rencontre n'était pas du au hasard. Si elle ne l'avait peut-être pas remarqué jusqu'à aujourd'hui, Harlem, de son côté, était tombé sous son charme quelques semaines plus tôt. Et ce café renversé n'était pas une maladresse mais bien un geste calculé. Il n'avait pas prévu l'achat du chemisier mais l'improvisation avait toujours été une capacité qu'il maîtrisait plutôt bien. Maintenant il n'avait plus qu'à espérer qu'elle se décide à l'appeler…
Harlem ne savait même plus depuis combien de temps il était là, adossé aux gradins, le regard rivé vers la petite brune qui menait d'une main de fer une équipe de sportifs tenaces et baraqués. En fait, il ne s'était même pas aperçu que la pluie s'était mise à tomber. Ce ne fut qu'en entendant Evie le crier à ses joueurs qu'il prit conscience d'être trempé de la tête aux pieds. Peu importe, il était bien là pour se mouiller, au sens propre comme au figuré. Lorsque son regard s'était posé sur elle, cinq ans après leur séparation, son cœur avait manqué un battement comme la première fois où il l'avait rencontrée. Ses sentiments n'avaient pas changé, peut-être même étaient-ils plus forts que par le passé. Cette femme avait été la seule à compter pour lui, celle pour laquelle il aurait tout lâché, s'il n'avait pas été lui-même un lâche. Elle était entrée dans sa vie pour tout y chambouler. Ses habitudes, ses certitudes, elle avait tout mis à mal en un battement de cil. C'était ce qu'on appelait l'amour. L'amour inconditionnel, l'amour sans limite, l'amour sincère.
A cet instant précis, alors qu'il la regardait mener à la baguette son équipe avec détermination et force, il se demanda comment il avait pu rester si loin d'elle, si longtemps. C'était impensable, inimaginable et totalement stupide. Si Harlem s'était efforcé de ne jamais avoir de regrets dans la vie, celui d'avoir laissé Evie derrière lui avait été le premier, et le dernier. Il ne savait pas bien ce qui l'avait décidé à partir à se recherche, ce qui avait mené ses pas jusqu'à ce terrain, jusqu'à elle. Peut-être s'était-il rendu compte de son erreur. Peut-être avait-il réalisé le vide immense dans sa vie. Toujours était-il qu'il était là, et bien déterminé à retrouver celle qu'il avait aimé, celle qu'il aimait.
Mué par une soudaine force il la rejoignit en quelques enjambés et s'arrêta à quelques pas d'elle dans son dos, silencieux, attendant qu'elle se retourne, attendant d'avoir le souffle coupé lorsqu'il croiserait de nouveau son regard. Le choc fut bien plus brutal que celui qu'il avait imaginé, alors qu'elle lui faisait enfin face et que ses prunelles se vrillaient dans les siennes. Son réflexe fut humain, presque inconscient, alors que ses bras venaient entourer le corps frêle de la jeune femme. La serrant contre lui à l'en étouffer il se sentit revivre, comme s'il avait vécu ces cinq dernières années en apnée. Il l'écarta doucement de lui et son cœur se brisa un peu plus alors qu'il remarquait les larmes dévaler les joues d'Evie. Etait-ce donc vrai ce que l'on disait ? On blesse toujours ceux que l'on aime. La violence des mots de la jeune femme vint le heurter de plein fouet, le faisant reculer plus vite que les maigres poings de la jeune femme. Qu'avait-il pensé ? Qu'avait-il donc espéré ? Que le simple fait d'être là suffirait ? Que toutes ses erreurs seraient pardonnées, oublies ? Il avait été stupide, naïf, de croire que tout serait comme avant. Il avala difficilement sa salive, cherchant ses mots. De simples excuses ne suffiraient pas, il le savait, il ne la connaissait que trop bien. Il tenta de revenir vers elle, une main tendue pour se perdre dans ses cheveux alors que ses yeux cherchaient vainement à croiser les siens. Elle était furieuse, blessée et il n'y avait rien qu'il puisse faire ce soir qui aurait changé cela. Il fit donc marche arrière, la libérant de son emprise sans pour autant la quitter du regard. Elle avait besoin de temps, et sans doute d'espace. C'était compréhensible, mais il n'abandonnerait pas. Jamais. « Prends le temps qu'il te faut Evie. Je suis là, et je n'irais nulle part. » Il fallait qu'elle le sache, il ne la laisserait plus jamais tomber. Il la fixa encore un moment, comme pour graver son image dans son esprit, luttant contre l'envie de l'embrasser, de la serrer contre lui pour ne plus jamais la lâcher. Puis il quitta le terrain, l'âme en peine, mais bien déterminé à ne laisser plus rien ni personne se mettre entre lui et l'amour de sa vie.
Dernière édition par Harlem Wheelers le Dim 24 Avr - 9:59, édité 4 fois
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Sujet: Re: HARLEM ◮ Love is poison. A sweet poison, yes, but it will kill you all the same. Dim 24 Avr - 10:03
J'ADOOOOOORE. Oulala, je suis toute excitée à l'idée de nos futurs RP. Bref, je te valide, merci mille fois d'avoir choisi mon scénario et d'avoir terminé ta fiche si vite !
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